La reprise du procès d’Olivier Boko, Oswald Homéky et d’autres coaccusés a pris une nouvelle tournure avec la nomination d’avocats commis d’office.
Cette décision, annoncée par la cour, vise à garantir le droit à la défense après la déconstitution des avocats initiaux, qui avait momentanément suspendu les débats.
Le ministère public a souligné l’importance de poursuivre le procès dans le respect des droits fondamentaux des accusés. Les nouveaux avocats devront étudier les charges, un travail nécessitant du temps pour assurer une défense conforme aux exigences légales.
Dans ce contexte, le tribunal a renvoyé l’audience au 23 janvier. Ce délai permettra aux avocats désignés de prendre connaissance du dossier et de collaborer avec leurs clients pour élaborer une stratégie.
Les avocats commis d’office auront la tâche délicate de défendre leurs clients avec un temps limité, tandis que les accusés pourraient choisir de réintégrer leurs anciens avocats, ce qui changerait la dynamique du procès.
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