Dans un témoignage accordé à Madame Actu, l’épouse de Praouda réfute catégoriquement les accusations portées contre elle par la famille du défunt.
« Je n’ai jamais défoncé une porte pour récupérer des effets personnels », a-t-elle déclaré tout en insistant sur le fait qu’aucun médecin n’a confirmé que son mari aurait reçu un coup à la tête. Elle qualifie les accusations de « chasse à l’homme » motivée par des intérêts liés à l’héritage.
Selon ses explications, l’intervention de la police découle de sa propre plainte déposée contre les allégations de la famille du défunt.
Lors de cet incident, elle affirme avoir été expulsée de leur domicile familial, contrainte de partir avec quelques affaires personnelles. « Ils ont dit que je suis partie en sous-vêtements, comme si je devais retourner chez mes parents sans rien », déplore-t-elle.
Concernant l’objet controversé mentionné dans les accusations, elle clarifie qu’il s’agit d’un outil utilisé pour maintenir les dents de son époux lors d’une crise, réfutant également les allégations de saignements.
« Dire que je l’ai tué est cruel et totalement injuste. Nous étions ensemble depuis 2016 et avons vécu ensemble jusqu’au jour de l’incident », insiste-t-elle.
Pour faire face aux rumeurs, l’épouse de Praouda révèle avoir demandé une autopsie. Elle espère que cet examen médical prouvera son innocence et mettra fin à ce qu’elle considère comme une campagne de diffamation.
« Je suis la seule à savoir ce qui s’est réellement passé, et je veux que la vérité éclate », conclut-elle, déterminée à rétablir son honneur.
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